Ou du moins, c’est ce que j’essaie de me dire. J’ai toujours été assez exigeante, avec moi mais aussi avec les autres. De nature perfectionniste, je pars du principe qu’il vaut mieux que je fasse les choses moi-même pour ne pas être déçue et pour ne pas avoir à passer derrière. Mais, force est de constater que la perfection n’existe pas. Ou du moins, n’est pas une fin en soi. Entre la fatigue et les microbes de ces dernières semaines, j’ai (...)